Les influenceurs se répartissent principalement autour de trois typologies d’influence : hubs d’audience, créateurs de contenus et relais de confiance. Comment ces influenceurs confinés s’emparent de cette situation ? Sont-ils renforcés ou diminués ? S’adaptent-ils ? Et quel après ?
L’étude rappelle l’écosystème dans lequel se trouve actuellement les influenceurs :
- 8% seulement des consommateurs estiment que les marques devraient cesser de faire de la publicité pendant cette période de crise sanitaire.
- 65% des individus déclarent que la manière dont aura répondu une marque face à la crise aura un très grand impact sur le fait d’acheter ou non ses produits/services à l’avenir.
- Des audiences digitales en forte hausse : +61% d’engagement observé sur les médias sociaux en mars 2020 par rapport aux taux d’utilisation habituel.
- Et une audience des influenceurs conséquente.
Les influenceurs doivent évoluer dans un environnement contraint avec des impacts particulièrement forts pour certains d’entre eux (voyage, restauration, mode, etc.). Et chaque typologie d’influence voit sa chaîne de valeurs impactée.
Or, si le contexte de communication est délicat, les influenceurs ont un rôle à jouer, un rôle qui s’incarne dans leur attitude et leur capacité d’adaptation : comportement, prises de position, engagements, création de nouveaux formats et dispositifs, rapprochement avec les institutions pour certains, etc.
Comme pour les marques, les influenceurs tentent de (re)définir leur rôle/discours dans une période de communication délicate.
Cette crise agit comme un révélateur et de nouvelles tendances apparaissent d’ores et déjà : nouvelles collaborations, nouvelles créations et nouveaux engagements.
Pour en savoir plus, veuillez trouver un extract de l'étude, disponible en téléchargement.