Jusqu’à présent les analyses réalisées par Kantar se concentraient sur l’évolution de l’activité publicitaire hebdomadaire, d’une semaine sur l’autre, depuis le début de la crise sanitaire. Ces résultats montraient déjà une nette rupture dans les communications et un déclin progressif de la publicité sur tous les médias, synonyme d’un manque à gagner certain pour ces derniers.
Passés cette étape et ce besoin de veille et d’information quasi quotidienne, l’heure est venue de regarder en arrière et d’étudier les conséquences de cette crise, si soudaine et imprévisible, en comparant l’activité publicitaire actuelle avec celle de l’an dernier aux mêmes périodes.
Et on peut dire que le bilan semble encore plus négatif, témoignant d’un réel et important déficit pour les régies ; elles assistent à un plongeon sans précédent des volumes publicitaires, tant dans le dénombrement des occurrences que celui des annonceurs actifs.
Passés cette étape et ce besoin de veille et d’information quasi quotidienne, l’heure est venue de regarder en arrière et d’étudier les conséquences de cette crise, si soudaine et imprévisible, en comparant l’activité publicitaire actuelle avec celle de l’an dernier aux mêmes périodes.
Et on peut dire que le bilan semble encore plus négatif, témoignant d’un réel et important déficit pour les régies ; elles assistent à un plongeon sans précédent des volumes publicitaires, tant dans le dénombrement des occurrences que celui des annonceurs actifs.